Les écuries faisaient face à une très grande prairie. Quand il arriva, Feodor prit le temps d'admirer cette nature paisible où une légère bise venait caresser un herbage abondant. Le trajet avait été plus long qu'à l'accoutumé. Sur son frison, il avait parcourut la distance qu'il le menait du manoir de Dariush au château des Amahir accompagné de tous ses chevaux ou devrait-on dire de ceux de son feu père.
Après s'être assuré de la solidité et l'entretien de l'enclos, il fit introduire deux couples de Shire, un couple d'Andalou dont la jument allait mettre bas, trois cob irlandais et six frisons.
Puis venait ce qui était le plus rare : un pur sang arabe et un Trakehner. Il essaierait bien évidemment d'en avoir d'autres.
Il laissa les chevaux paître et rempli les abreuvoirs ...
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